bluefairy Reporter & Team Bill
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| Sujet: [NET/CL/Novembre 2010] (Emol.com) Tokio Hotel a rendu folle une foule d'adolescentes au Movistar. Lun 29 Nov 2010 - 19:14 | |
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Ante unas ocho mil personas de bajísimo promedio de edad, el grupo alemán presentó en Chile sus canciones de rock rudimentario e iniciático.SANTIAGO.- Las señales venían dadas desde antes de la hora del concierto: Fuera de la Arena Movistar se podían contar los automóviles estacionados, lo que en día de concierto vislumbra un escenario francamente preocupante. Sin embargo, en el interior del anfiteatro más de ocho mil personas ya estaban a la espera del número estelar. La explicación a tamaña disonancia está en el techo de edad de los presentes, que fácilmente se ubica en los 15 años. Son niñas en su gran mayoría, capaces de multiplicarse por varias a la hora de chillar, en un ruido ensordecedor que resuena nada más apagarse las luces del recinto. Los responsables del ritual son Tokio Hotel, el cuarteto que esta noche debutó en Chile demostrando que su tipo de arrastre es concordante con su propuesta: Los alemanes hoy sólo pueden ser una banda iniciática, puerta de entrada a una zona que pronto se dejará atrás para seguir avanzando por nuevos caminos. La razón está en un rock rudimentario y limitado, que bebe de distintas fuentes para configurar un repertorio irregular, suficientemente audaz para crear la ilusión de escuchar algo que no es un proyecto de pop maqueteado y blando (en rigor, es otra cara de la misma moneda), y lo bastante conservador como para no patear estómagos que aún se impactarían con los clásicos clichés del rock & roll. El libreto escogido para desarrollar eso oscila entre lo futurista y lo apocalíptico, un sello que está en la estética —de estalactitas grises, dibujos de tuberías y paisajes arrasados en la pantalla de fondo—, pero también en el sonido. Así, temas como "Noise" aluden a las vertientes más oscuras del nu metal, mientras que "World behind my wall" es una balada rock para coros masivos, atravesadas por el facilismo futurista de los viejos Babylon Zoo (los de la olvidada "Spaceman") y un ímpetu rockero tan calculado como el del glam metal, al que ya el look del cantante Bill Kaulitz —cuyo rostro será familiar para cualquiera que haya visto una revista de quinceañeras colgando de un kiosco— inevitablemente recuerda. Pero nada de eso será tema para las púberes que hoy recibieron al grupo hasta con globos con los colores de Alemania en "Darkside of the sun", previo acuerdo fraguado en un club de fans. Para ellas, Tokio Hotel debe ser hoy el principio y el fin, en una fidelidad que el tiempo debería dejar atrás: A menos que los alemanes también crezcan y se expandan, en unos años más la afición por ellos no será más que motivo de enternecedora nostalgia. Source: http://www.emol.com/noticias/magazine/detalle/detallenoticias.asp?idnoticia=449790 Pour environ 8.000 personnes très jeunes, le groupe allemand a, au Chili, présenté ses chansons d'un genre rock rudimentaire et peu étudié.SANTIAGO. – Les signaux sont venus avant l’heure du concert : devant le Movistar, on pouvait compter un bon nombre de voitures garées, ce qui, en ce jour ce concert, annonçait un scénario assez spectaculaire. Toutefois, à l’intérieur de la salle, plus de 8.000 personnes étaient en attente du groupe star. L’explication de ce phénomène inhabituel était dans la tête de toutes les personnes présentes, qui avaient toutes à peu près 15 ans. C’était, en grande majorité, des filles, et chacune pouvait acquérir la force de dix personnes lorsqu’il s’agissait de crier, notamment lorsque les lumières se sont éteintes, dans un bruit assourdissant. Les responsables sont les Tokio Hotel, le quatuor qui a fait ses débuts au Chili cette soirée, et qui a montré que son genre de musique était en accord avec ce qu’il proposait : les Allemands, aujourd’hui, pouvaient seulement être un groupe initiatique, en formation, une porte d’entrée vers un domaine qui sera bientôt abandonné afin d’exploiter d’autres pistes. La raison ? Un rock rudimentaire et limité, qui prend sa source à divers endroit pour finalement créer un répertoire assez irrégulier, assez audacieux pour faire croire que ce n’est pas de la pop douce (alors qu’en fait, ça l’est), et assez prudent pour ne pas frapper les gens avec les vieux clichés du rock&roll. Le groupe a choisi de développer ce style mi-futuriste mi-apocalyptique, faisant tout particulièrement attention à l’esthétique – stalactites grises, dessins de tubes et paysages déserts sur l’écran du fond –, mais aussi au son. Ainsi, des chansons comme « Noise » montrent un côté plus sombre, voire métal, alors que « World Behind My Wall » est une ballade rock avec beaucoup de chœurs, traversée par un rock impétueux se rapprochant plus du glam métal, complété par le look du chanteur Bill Kaulitz – dont le visage est familier à quiconque a feuilleté un magasine dans le coin d’un kiosque. Mais les jeunes filles pubères ne penseront à rien de tout cela, elles ont accueillis le groupe avec des ballons aux couleurs de l’Allemagne sur « Darkside of the Sun », action organisée par le fanclub. Pour elles, Tokio Hotel est tout, le début et la fin ; cette loyauté devrait changer avec le temps : à moins que les Allemands grandissent aussi et s’intéressent à autre chose, dans quelques années, ils seront la seule source de nostalgie réconfortante. Traduction de Hollywood. pour A-TH. | |
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Hollywood. Traductrice
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| Sujet: Re: [NET/CL/Novembre 2010] (Emol.com) Tokio Hotel a rendu folle une foule d'adolescentes au Movistar. Mer 1 Déc 2010 - 20:52 | |
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| Sujet: Re: [NET/CL/Novembre 2010] (Emol.com) Tokio Hotel a rendu folle une foule d'adolescentes au Movistar. Jeu 2 Déc 2010 - 10:55 | |
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